L'histoire du Premier Avril On raconte que ce jour-là est différent des autres jours mais une jeune Demoiselle était très triste ce jour là. Elle avait perdu son souffle et rêvait que par le chant. Elle n'avait plus la force de pleurer et son âme sombra dans la solitude. Son anniversaire était son seul lien dans ce monde mais la nature en avait décidait autrement. Elle demanda à un albatros de lui apporter un poisson. L'oiseau pêche un poisson qu'il apporte à la jeune fille. Ce présent lui rends le sourire et remercie l'oiseau. Elle demanda à l'oiseau et l'oiseau répondit: Dans le dernier jour de mai, il naîtra l'avril promets de donner cette coutume pour la nature. Elle fit un signe mais l'oiseau disparut. Elle prépara le poisson et y trouva une bague d'homme en Or... Sa famille était pauvre et elle le savoura avec sa famille: La Mort était là mais le sourire était présent. Monsieur Tignard Yanis. PS: Joyeux Anniversaire, Norah Jones. ------------------------------------------------------ Les mouettes de la mer et l'aigle de l'océan Un vieil homme raconte une histoire devant un arbre prénommé Cèdre du Liban. " Autrefois, Les Laridés étaient des solitaires et ils se dévoraient les oeufs des uns et des autres. Ainsi l'Éternel parla à l'aigle: "Oubli le serpent et dévore les mouettes." Les oeufs étaient moindre mais ainsi les mouettes vécurent dans la crainte et elles devenaient moins solitaire et plus sociale entre-elles. Et un jour, elles chassèrent l'aigle sans le tuer et le laissèrent chasser car la vie est ainsi: L'aigle n'avait point été cruel et avait obéi à l'ordre pour le bien du peuple de l'eau et des roseaux. ------------------------------------------------------- La fontaine et le fromage. Le Renard a volé un fromage à la corneille mais la Chine a rendu ses restes par sa franchise. ------------------------------------------------------ La Tradition: dédié à l'Univers. Ce chat luie dans l'univers. L'odeur mène vers la suie. Une vieille grange gronde le feu. Amene et sent la colére du jeu. Malheur coule ces lumiéres... Où jaillient ces teneurs...? Sonnets frappent ces douleurs; Cette oie reste une chaumiére. ------------------------------------------------------- Taro et Jiro au Japon ou Antartica. Dans le plus grand des déserts même si il brule, seul l'horizon te permet de ne pas la voir venir. Son souffle te caresse de la main même, celle qui est veuve de la vie. La mort murmure des paroles et nous voilà devant le choix: S'écrouler ou aller de l'avant... Le temps disparait laissant apparaitre ces nuages, nos yeux pourrait se laisser guider par la folie. Celle que d'avoir oublier, qu'on ne peut oublier la vie pour la grandeur des choses et instaurant la dictature par l'esclavage. Merci Taro et Jiro vous m'avez appris à suivre les nuages car dans le plus grand des déserts même si il géle, seul l'horizon te permet de ne pas la voir venir... Son souffle te caresse de la main même, celle qui est veuve de la vie. ------------------------------------------------------ L'éclair et le pigeon. C'était un jeudi, à librairie Privat, rue des arts, où je décidais d'acheter un livre intitullé Chagall et la période russe !. C'est alors que j'entendit un frisson et me retournant dèrrière mon dos! C'est là que je vis un pigeon assomée où plûtot fou de la dernière heure. Il était à terre et frappait des ailes sans voler ! Alors, je le pris dans les mains, et je vis qu'il saignait un peu ! Fût il foudroyé par une guêpe, une abeille... ou par un virus ! Le piegeon étant mort, et aprés l'avoir embrasser je suis parti vers la Garonne. Alors son cercueil fût le fleuve des loups ! Les nuages. Alors j'entendit un corbeau et un goeland emportait la carcasse du mort vers le cimetière: L'eau est tout comme le plaisir abreuvant un corps de raison et de douleurs. ------------------------------------------------------- Le chacal et le renard. "Elle avait raison nous avons sombré dans la barbarie." dit le renard. "Rien n'est encore perdu !" réponds le chacal et à sa manière, il baisse les yeux vers ses pattes antérieurs. "cette mort vient de nous, alors que nul ne peut échapper à son jugement!" dit le renard. "Nul pourtant n'a de réponse mais je concerve ma foi.!" dira le chacal. Dans les plumes de chacun nous avons ressenti le plaisir d'autrui. ------------------------------------------------------- Fables d'aujourd'hui. Ludivine et le canari "-Ludivine." "Canari." "Veux tu m'offrir cette main." "Non." "Le cancer... je parle de l'autre..."dit le canari. "Mais, tu parles." "Le serpent est vivant Ludivine la blanche." "La vipére n'est pas le térrorisme."dit la chatte. "Tu souffres." demande le canari. "Enervé..." fait Ludivine la chatte blanche. ------------------------------------------------------- Croaw-croaw, l'ancien corbeau. "Mais qu'en est-il devant l'homme." "Corbeau." "Cassandre tu portes le poids, et tu devra nous donner l'envie d' aller défendre ce qui est notre valeur: Yafo." "La chouette éffraie, je suis faible corbeau et elle va reprendre le pacte de l'union et elle est prète à défendre des hontes que se sont livré Jaël et Sisara dans l'ancien temps." "La nature et TAY savent la douleur mais il est des coeurs à sauver, à défendre et à aimer: Toute femme n'est pas une espionne, par Yahvé celui qui est Allah." "Protége le, corbeau." "Par les racines de mes ancetres, ma fille Nicosie sera là et lui donnera le plaisir de s'unir dans la joie avec un autre corbeau. Nous ne sommes pas un détail, Cassandre chouette d'égypte;nous avons le fait d'être." "Croaw-croaw, L'olivier est une graine devenant par les années un grand arbre comme le cèdre et chacuns." ------------------------------------------------------- La tourterelle: envoyé à khatami@president.ir, nagaliew@yahoo.fr,vice.president@whitehouse.gov Elle pousse un soupir. Elle s'envole et quelle sensation de voler sous la pluie. La tourterelle se pose alors dans un jardin et murmure alors des notes La petite fille et sa mére voient athèna la chatte bleue " Oh... regarde...Le chat." dit la petite fille. "Oh...Il est beau, il est tout bleu." fait la mére. Athéna les regarde amuser et s'en va rentrer chez ses filles. ------------------------------------------------------- Les mouettes. "Heu" dit le corbeau. " En poste,..." réponds le goeland. Au loin de ses nuptiaux, Nagalïèw ressent l'amour des saisons: Eole cet albatros est là... Dans la garonne, la nature a construit ses iles et seront faire face au lit Du fleuve. ------------------------------------------------------- Poéme pour prisonniers sur Mer Morte. au coeur d'un lac, ainsi est l'histoire: L'eau s'évapore laissant place au sable de s'éparpiller dans le clair obscur de nos yeux... Certes sont... Est là... derrière... Le temps rappellant le temps. La science appelant la science Certes sont. Est là. Derrière.Elle disparaitra un jour, Sans gré et sans force. Elle demeura Mer Morte. Certes sont Est là, Derrière. ------------------------------------------------------- C’est les plus mauvais mots. Et, pourtant nous pouvons choisir. Oui a la grève et non a l’esclavage. Je t’embrasse le service public. A l’appel des verbes, qui pourrait contenir, la parole n’est pas de contenir. Mouettes sont dévorés par les renards ; finis n’est pas finir. 2ieme strophe. O cœurs ravagés, par temps et virus, celui des filles de l’ogre méchant voulant dévorer. Alléluia, o mon peuple, me voilà dans la lassitude des plus grand âges : je le peux. Comment ceux qui n’ont, plus le goût des plus grands affamer des pieux. Les vaches sont là et mangent des foins. Coquin a été l’être des absorbés : Arborer. 3ieme des remarques. Ils se sont élevés dans le cri des plus grandes douleurs. Ces hommes, épris de connaissance, Connurent la joie d’être une couverture. Par le dieu, les concrets affirment dans les aisances. ------------------------------------------------------- « Elle chante…bien sur qu’elle chante…elle ose malgré… oh, elle va voir. Cette enfant n’a pas le goût de l’obéissance. Elle vit dans son univers. » ; la femme se dirige vers la chambre de l’enfant. Elle grimpe par l’escalier. Celui qui la ramène vers ses longues années de service. Dame Julie entends toujours des airs de musique provenant de la chambre de la jeune fille. Il faut savoir oser, et cette enfant ne dispose pas de la liberté. Elle aime jouer de son piano, mais elle délaisse sa grammaire. Il n’y a rien de bien original sauf que cette enfant est l’héritière. Dame Julie frappe à la porte et la musique, alors s’interrompt : « Mademoiselle… Vous m’avez désobéi… Vous délaissez la grammaire, je veux vous dire ! Vous avez utilisé votre charme et le dos tourné, vous avez … Mademoiselle… ! » : Dame Julie est en pleurs mais la jeune fille lui répond : « Dame Julie, ma mère sera satisfaite de mon travail. Il est moins bâclé. Je suis chagrinée. J’ai si peur d’être frapper pour une nouvelle désobéissance, dame Julie. » ; l’enfant est vraiment bouleversé, elle ne sait que lui dire ses mots : « une nouvelle lecture, dame Julie ; ainsi, j’observerai l’orthographe. » « Mademoiselle, j’en ai assez de vous entendre hurler sous les fouets de la punition. Votre père et votre mère attache une importance réelle à votre éducation. Je suis si faible. Je n’ai pas eu la chance d’apprendre à écrire ; ces devoirs ne sont pas bâclés, mademoiselle. » réponds dame Julie. « bien sur qu’il y a des erreurs, le parfait est d’apprendre ses nouvelles règles. Je vous assure que mon cœur est de jouer car je serai battue : Ils sont ainsi. » « Mademoiselle » répond dame Julie. « Je ne faisait que chanter, dame julie. » « Vous avez désobéie, mademoiselle. » Quand les parents arrivèrent, ils demandèrent si dame Julie avait chanté, Dame Julie répondit Qu’elle voulait savoir si la petite fille avait bien travaillé son écriture et sa grammaire. Après quelques minutes, ils reviennent pour dire la chose la plus merveilleuse qui soit Pour Dame Julie : Ils sont fiers… Alors, elle comprit que la petite fille, elle comprit sa faiblesse : Elle prétendit avoir chanter. Dame Julie alors baissa la tête et les parents riaient : le temps donne ses fruits, Dame Julie. ------------------------------------------------------ Dans la volonté, on y retrouve la notion de combativité. Ce phénomène peut être démultiplié dans le sens du matériel et d’un autre phénomène que l’on surnomme la construction du sens. En effet, il y a cinq sens pour l’un ; pour d’autres il n’y en a pas : D’où l’intérêt d’y inclure l’aspect de recherche pour donner sous forme de Définition à un problème de rationalité. La combativité est un sens ou une recherche ? Pour la culture japonaise, les deux sont étroitement liés dû au fait que le seuil n’est pas encore résolu dans le sens théorique du scientifique. Ainsi est né l’embryon : L’amour ne peut être une épreuve. L’amour, donc, est une conséquence ou une sorte de soumission. Alors, pourquoi tant de mathématicien et philosophe, interprète-il l’amour comme réel dans l’irréel. L’amour n’est pas un sens : Il aurait pu être une passion si l’amour se complétait. Or là, l’amour de passion n’a qu’une part douce d’irréalité ; il y a aucune volupté. Il est charnel. Donc, le sens de l’amour est inclus dans la chair et l’information. Ainsi, l’amour est le plus grand préliminaire du sexe… La combativité s’inclus plus dans un terme d’amitié ou dans l’attribution d’un pouvoir. Le combatif ne s’oppose pas au sexe, ni d’ailleurs à l’amour : Mais le combatif sépare l’âme du corps. Il y a le bestial ! Chacun a son sens de l’interprétation pour le prénommer. Ainsi, le platonique n’est ni vérité, ni certitude. Il y a un cheminement. On parle des filtres d’amours en magie ; un scientifique dans sa juste raison, dénoncera l’humide de la femme et l’impuissance métaphysique de l’homme. La femme n’a pas besoin d’une lueur pour se donner à un mâle ; l’homme lui a besoin d’une lueur, de cours et d’un amour. La femme est une symboliste, l’homme n’a pas cet attrait de découvrir… Tous les hommes ne sont pas des mâles et c’est ainsi que la femme créa la réunion de groupe : Si la pomme est liés à la discorde, cette différence s’appelle le lien du poète. L’érection n’est pas taboue, et c’est ainsi qu’est né cet art de la pomme face à la discorde : La Psychologie est incapable de donner un profil de la fille facile et du mâle. Alors, ce débat pourrait être éternel si il n’y avait pas les choses courantes : Les êtres semblent donner la volonté de rassembler leurs idées autour d’une volupté… aucunes ne semblent être commune malgré leur nombre limité. Ainsi le corps n’est pas un outil pour le crime ; dans le mille, cette prostitution est sujette à la torture, à la vente et au marketing. Nous le savons, vous le savez ! Le média est bien plus qu’un outil de télécommunication ! C’est le monde secret des réponses autour de cette illusion qu’être devenu bien plus qu’une ombre à la solde de « pions ignorants » ignorant les parfums secrets des reines et de leurs agents… Dans la volonté, il y a deux forces : L’électrique et le cerveau. Ainsi, bien plus qu’une apparence ! j’ai aperçut l’intérêt de cette certitude : Politiquement, il n’y a pas de taupes ! Des mouchards, hum… Bien plus, c’est l’espionnage ! Un monde où la mort est un camouflet au même titre que la personnalité : Des traînées de pétrole s’échappant du « prestige ». Ainsi, la nature de l’Homme n’est pas de prévenir sur les coups que peuvent recevoir ses femmes devenues des filles de joie. Il y a-t-il un intérêt à les fréquenter ou alors, juste pour leur donner des cours de tuyauterie. Les mouchards sont plus efficace de l’espace, chaque puissance possédant son propre satellite d’observation ; Le scientifique est le fou et le géographe devint le cavalier d’un vaste échiquier : La géopolitique en est toujours à ce coût que procure un tournoi de joueurs. On peut parler des gènes mais il y a le goût du physique. Bien que les problèmes ne soient plus ; car en amour comme en sciences, on fait à cet appel de données. Etre devenu au cœur de l’information. Pourtant, l’éprouvette a enrayé la peste ou d’autres maladies : C’est logique, l’éprouvette a donné l’existence à l’embryon auprès de l’ovaire. Le mythe d’un homme et d’une servante qui donne à une femme d’être une mère. La science a écartelé la jalousie des hommes et des femmes pour laisser place à ce fait : Guérir. C’est noble mais tel est le terrible. Une petite mouette volant sur l’onde criant et jouant à travers l’espace. Découvrir notre chaînon s’est ici ; le danger s’est là-bas. Cette information n’est pas liés à l’érection ; ainsi il existe le secret médicale pour le bien de l’individu : L’amour et le travail sont deux horloges. J’ai eu peur de ne pas y parvenir ; peur d’être timide. Mais, j’ai eu la violence sur moi-même, et comme beaucoup, je l’ai attribué à la claustrophobie. Mais, j’avais conscience du mal. Pour ne pas craquer être simple, et là de vieilles légendes, me sont revenu : J’ai hait l’homme mais pas ces livres. Je n’étais pas sociable car j’avais honte. Ainsi si, la philosophie s’est greffée à l’amour, au désir et au sexe ; Les mathématiques et la biologie ont conçu ce fait sur les résultats de la molécule physique, les atomes et de l’observation de l’astronomie : Les géopolitiques, l’espace et l’histoire. La vie est au sein d’un infiniment grand et d’une minuscule électrique : Le ciel et l’espace. L’histoire du petit s’implose au sein d’une ligne dans le fait que la gravité est le déclencheur de l’arc électrique. La hauteur donne des indications sur le volume et la masse. La tempête n’a rien laissé que son propre spectre : Mais quelle soit électrique ou matière ; elle est avec la gravité, la formation du ciel céleste. La ligne du néant donne un parallèle avec le temps pour le vide. Les scientifiques confondent la cellule et le centres d’où ces interminables réunions sur la créativité de l’univers. Ainsi ce parallèle est donné par l’étendu et les différentes sources de luminosité sont définies sur le fait de l’étendue. ------------------------------------------------------- Le marron va sortir de l’enclume, perdre une femme pour lui ? Comment se regarder dans une glace ! Mais que dire qu’il s’agit aux pluriels. Et dans cette terreur je fus seul. Ce furent des guerriers pour la plupart des bannis, ceux qui avaient des larmes. Nous étions aux postes peut être un peu trop tôt peut-être avant l’heure pour certains. Le marron va sortir de l’enclume. Mourir pour lui. Comment ne pas se regarder dans une glace. Et dans cette terreur, nous fumes seuls. Et les femmes ne s’en souciaient car dansant ; et les autres flattant l’esprit de leurs pieds. Quelles musiques… ! ------------------------------------------------------- Amour et Cœur. Que la nuit soit bleue Et qu’elle résonne en mieux ; Que sa raison porte le pieu Afin qu’elle conduise au lieu. Des étoiles traversent mes yeux, Mais, le chagrin me ramène vers eux. Souffle vers les nuages, éteint le feu Afin de dire et de crier vers les valeureux. Tant l’espérance qu’elle porta Chagrin, Voilà la juste réalité de mon Destin. Conduire ce char qui produit la perte que je crois, la vie a en perdre. Irrégularité du mouvement,là Voilà le déplacement du périhélie, içi… De ce destin de signe, mon cœur est las ;D’ailleurs y ai-je cru un jour, ailleurs ou ici. Terreur survit dans l’alcool, je ferme. Et pour personne, je ne crirai même, Si je pouvais l’avoir : Je me tais. Car si lointain, le temps où je décidais. ------------------------------------------------------ Magellan et Mendoza. Les albatros sont des oiseaux trés surprenant. Chacun d'entre-eux est muni d'une corde vocale et d'une mémoire auditive et sensorielle. Magellan est né le premier, Mendoza vient le deuxiéme. Son pére vient du nord et porte un prénom irlandais et islandais: Patrick. Sa mére est un peu plus de l'antartique et son prénom est Lumiére de la Rose. Patrick est agréssif mais fidele dans son désir et au courage il ne se laisse jamais emporté par la violence. C'est par le fait de distinguer le bien et le mal qui lui permit de séduire la douce fleur venu du Sud. Au loin, souffle le vent et Cassandre la chouette blanche d'alexandrie vient les prévenir sur la prophétie et sur les moyens engager pour enrayer l'esclavage: Le mythe de l'arche de Noé et l'olivier des amazones. ------------------------------------------------------- La grenouille et la chauve souris. Dans un clair de lune, Une grenouille croasse...Une chauve-souris vole dans l'obscurité et reçoit par son radar, la présence du batracien...La grenouille continue son appel et la chauve-souris ne dit parole: La grenouille a une allure de dragon pour une chauve-souris! Mais, elle se pose de fatigue sur une branche et écoute la grenouille. "Dans un champs de pleurs, le rapace dévore la grenouille et la souris, dans ces clairs, on s'aperçoit de la proximité du jour et des nuits... Je pleure et je me console sur la présence des restes: Je reçoit la présence d'un conjoint." La lune aveugle la grenouille et la chauve-souris recent une Présence. Alors un cri se fait entendre et les gémissements de la grenouille d'ajouter. "Un moustique qui pique; et au milieu de cette nuée, c'est l'appétit qui vous prends" Sur sa branche, la chauve-souris s'amuse; si la grenouille n'est pas sotte: son odeur la revele! Sur une branche, une chouette hullule vers son mâle. ------------------------------------------------------- Réponse à Baudelaire ou le corbeau. Femme, je te réponds à ton enceinte. Toi, qui avec tes yeux de marbre, parcours notre corps fou de désir...Venus je te réponds que notre semence est mélée à l'esprit de la vie. Et moi pauvre saltimbanque je te défie de me l'arracher par l'épreuve du Temps et des quatre élements. Je te le dis en face... Voilà le cri du fou qui se mets à tes pieds... Tout en sachant la diversité du troisième élements. Qui es tu...? J'ai ma réponse. ------------------------------------------------------ Sans titre n°A: dédié à Madame Valerie Carcelen Son âme est bleue; Son coeur fragile rougit. Sa silhouette est présente. Silencieuse... Si.. Et puis elle parla...Alors, on la regarde... Méduse, vénus qui sont elles ? Vibrante... vivante... Et dans ces yeux, il y a la force. L'une des plus grande, belle. Silencieuse... si... Vibrante, vivante... ------------------------------------------------------ Les amants et la vie tournent tous autour d'une approche historique et anthropologique des systèmes d’estivage, avec un double objectif : appréhender l’histoire de ces systèmes pour elle-même, dans ses dimensions techniques, écologiques et sociales ; l’appréhender comme une voie d’accès nouvelle à une histoire globalisante des sociétés montagnardes. Défini à la fois comme une pratique — mener paître les troupeaux en haute montagne l’été — et comme un espace — les pâturages d’altitude des massifs européens — l’estivage constitue ici le point nodal d’une approche interdisciplinaire, comparative et diachronique, visant à cerner le rôle et le poids des marges — les vacants, les terres communes — dans la temporalité et l’organisation spécifiques des sociétés où elles ont eu et où elles conservent une grande importance. L’attention se concentre donc sur les régions de montagne, avec, en arrière-plan, l’idée qu’elles peuvent fonctionner comme un révélateur de modes de perception et d’appréhension de l’espace plus largement partagés. Comparatiste, cette perspective propose d’explorer un système dont la cohérence se dégage de ses variantes . Sont actuellement mis en regard, au sein des Pyrénées, la Cerdagne (à l’Est) et les vallées basques de Cize et de Soule (à l’Ouest) ; à une autre échelle s’engage un travail Corse/Pyrénées. Diachronique, l’approche vise à saisir la dynamique des transformations, écologiques, techniques et sociales. Elle s’étend donc à la longue durée, avec une attention accrue pour les périodes historiques. Interdisciplinaire elle fait appel à différents éclairages, mis en œuvre au sein de travaux collectifs : fouilles archéologiques des habitats pastoraux, séquences paléoenvironnementales (palynologie, anthracologie) permettant de retracer les grands rythmes de l’impact anthropique, assemblages carpologiques et faunistiques documentant les pratiques agro-pastorales, sources textuelles et sources ethnographiques. ------------------------------------------------------ Le héron et la puce. Un jour. Le cœur des années, un animal s’était construit un nid au cœur des vanités. Le héron se grattait : « Je hurle, je souffre et j’ai soufflé. » La puce de répondre : « Je me suis construit un nid, juste une matière. » ------------------------------------------------------ Le héron et le crocodile. Un male hurle vers la Lune : « Toutes ces femelles portent mes fruits » ; Ces gémissements ne semblent en aucun cas troubler les noirs désirs des crapauds et des grenouilles. Pour dire même, l’amour s’y fait entendre et le crocodile n’est plus le bienvenu chez ses épouses." Un héron lui est là et il observe ses lamentations. « Et d’outre-mer… Toi, là qui te lamente sur le rôle d’une mer. » : S’écrie le Héron et alors, Les batraciens cessent leurs tumultes de reproduction et d’orgies. « Qui ose défier le male que je suis, un dévoreur d’insecte. Elles sont mère d’un père » : Hurle le crocodile. « Qui es-tu, un oublié, un suicide bavard… ». Les batraciens se regardent. Le vent souffle et alors le héron fait entendre un certain cri. Alors, les crapauds s’écrient : « Le diable a entendu notre désir et le héron est venu nous punir ». Au crocodile de leur répondre : « juste non, il est revenu mettre d’humeurs, mes braves épouses et mères ». Au héron de hurler : « A les douces nuits d’été, entendre ses orgasmes et ses larmes ». ------------------------------------------------------- Le chat et le serpent. Quelque part dans une grange, on y entends de drôle d’histoire. Ainsi une pauvre souris se savait traqué par un chat. Voilà, comment mon ami le canard me raconta cette histoire. En tant que, Narrateur, je dois dire que ce canard était anglais. Enfin, une certaine émotion pouvait se lire sur la ligne de son bec. cette souris n’avait pas eu d’enfants mais elle les portait. Je n’ai pour habitude d’en arriver à ce stade ; mais le chat était affamé par le fait : Ce chat chassait aussi pour sa femelle enceinte. Le chat bondit et il sauta d’une meule de foin. La souris surprise entendit le souffle ; et reussit à se protéger en se cachant dans un terrier. Alors, le chat entendit une voix : « Laisse minet de basse-cour, elle est pour moi ». : Le serpent rentrit ses crocs et alla dans le terrier de la malheureuse. Tel que fut l’histoire, elle a juste poussé un cri. « Et le chat ». Demanda Merlin le rouge-gorge. Le canard lui répondit ce que le chat lui a dit : « J’avais neuf vies, mais j’ai croisé le rappel de la mort : Il m’en reste sept ». « Et le serpent ». « Une femelle qui portait la vie, je crois d’ailleurs qu’elle a reussi à donner la vie. » Merlin, le rouge-gorge de répondre : « Ainsi… Malgré tout, elle avait un cœur. » Au loin, la chouette hullule vers le jour, la nuit et les chauves-souris : Les arbres de vies. -------------------------------------------------------- Les laridés et le phare. Les chinois ont parlé des nids d'hirondelles. Au coeur de leurs iles, seule la science du cri a permi au arabe de l'orient de comprendre le chant des laridés... Les mouettes se nichent sur les falaises et lorsque on ne connait pas la géographie: Les falaises, ainsi, n'étaient connues que des habitants... Les laridés et la science des reproductions montrent que la mouette survolle. Comme les otaries, les mouettes donnent au marin les chemins d'un port... Ainsi telle des étoiles, les oiseaux sont le point d'observation sur l'horizon. ------------------------------------------------------- Enfance d'un Hermaphrodite ou Génesis. Nuages écarlates éclairent la pluie déluvienne. Cauchemars hantent les nuits vénusiennes. Lune vitriolée pénetre mon obscur féminité, Pour mieux réveiller mon soleil caché. La lionne rugit:" je n'aime pas l'eau." Le renard me rusait:" je suis l'arbre." Le vent me souffla un conseil et Sa soeur écouta ma complainte. Saturne dévorant, jour aprés jour, les yeux lunaire de moi. Je me dis:" Regarde vers ce ciel, écoute les chants marsiens. Le bel hiver annonca ma cent-vingtième année. " Nous avons oublié les chats." criaient les femmes de ma vie. " Et les autres, Hein ?" me dis je: Et les autres" ------------------------------------------------------ le saumon et l'habitude J'avale les kilometres.Le poisson est aussi celebre que son gout. ------------------------------------------------------- Brindille Un homme assis devant un fleuve. Il regarde les vagues du fleuve. Le plus bel amour est d'être aimer. Il le savait depuis toujours et avait l'air de toujours dormir debout: Alors il partait réfléchir devant le fleuve tout en étant seul ou accompagné. Cet homme remarqua une brindille, parmi tout le bois c'est elle qui attira son attention. Il voulu jouer avec et puis son désir n'était que de voir. Alors il laissa le vent seul au milieu de sa nature. ------------------------------------------------------- Le Mouton et le vélo. Dans une ferme, des moutons vivent dans un enclo...Ils ont cinq ans d'âge et le propriétaire les élevent tout naturellement avec un bon chien... Il ne jouait pas sur les mots... Il dressait son toutou devant des moutons béats: Cela remonte à deux ans. Et un jour, le chien a perdu un mouton...Et, le propriètaire fut très chagrinné, mais n'en voulu pas au toutou...Il est des expériences douloureuses. Et le soir il entends la dame rentrer à Vélo... "Que fait le mouton avec toi !"demande l'éleveur. "Eh bien, il m'a suivi..."réponds sa femme. "chez le charcutier...mon bébé.":Dis l'homme. "Celui là...C'est le Leader...Il t'écoute comme un chien..."réponds la femme. Dans une jolie terre, le cri de l'hygiène ne s'y est jamais éteint mais certes qu'une agonie se fait entendre: C'est l'abandon. ------------------------------------------------------- les ours. Les moutons sont comme les saumons. tout pourait les separer . Mais, nous sommes connu principalement pour notre gout pour le miel. Il y a des choses à entendre;dans leur repere, le male s'amuse par instinc et force à répendre. courage sur les tranchées, les hommes s'aprettent à se les arracher dans les coulées. ------------------------------------------------------- L’hétérosexualité et l’homosexualité ou les jardins du délice Dans notre cœur, nous voyons les images qui défilent devant nos yeux et notre désir. Dans la vie, la tristesse est telle qu’il faut aller ailleurs pour éprouver la peur ou la tristesse. Dans l’amour, on y trouve les joies et les tristesses que peut offrir un homme et une femme. ------------------------------------------------------- L’instant ou le couple… (Dédié à Athènes) Soutient-moi contre ta poitrine que je puisse oublié pendant un instant. Enlace-moi entre tes bras pour que la bravoure revienne en mon cœur. La simplicité de l’enfant s’envole vers d’autres cieux. Il ne reste aucuns souvenirs de notre instant, j’aperçois le mirage en mon cœur. Car finalement, la plus grande des tristesses n’est pas la trahison mais la fierté de ton orgueil. ------------------------------------------------------- Les saisons de la montagne « Pelée » Le cœur montant, je vais à la montagne. Là à cet endroit, je vois un chamois qui dévale la Pente. L’animal n’arrive plus à freiner de ses pattes. Et voilà, le mâle… Le chamois qui passe Sans un cri, le vide. Le sang inonde les neiges de la montagne « Pelée ». Là où nul homme ne passe, la stérile m’envoie ses heureux et bienfaiteurs rayons… Dans un instant, un loup, l’animal, hurlera sous la lune et les foyers resteront portes closes. Le Soleil s’étant couché et voilà son rouge-gorge se déroula sous les pentes de l’Himalaya Accouchant d’un Caucase sans nuages. Mirage trouble les neiges de la montagne « Pelée ». Siloé ou le cœur du scorpion brille de mille éclats durant son éphémère voyage. Ses explosions ont laissés évader ce vide spirituel qu’est une éjaculation. Je te vois femme, Qui me parle dans mes rêves ! L’abandon inonde les neiges de la montagne « Pelée ». J’arrive près de la demeure et du haut de la montagne « Pelée », j’entend une vive Dispute... ! La fureur des éléments ne font qu’un ! Pauvres marins, laissez-vous guider par Votre prudence !. Tempête coule sur les neiges de la montagne « Pelée ». Je vais prendre le thé. Mon Père est allongé ; je sors de mon lit : J’écoute la nature… Chez nous, il y a une faune au Cœur de la ville. Voilà, bientôt trois heures que je me suis penché sur mes labeurs : il y a deux lits dans une chambre. Alors, pour bien me réveiller et mieux rebondir sur mon clavier : Je vais me préparer un thé noir. L’ordinateur lui est mécontent de son inactivité ; alors il a Intégré tout comme mon père, la veille. Drôle de petite histoire pour une société en route vers Un espace. Dans la cuisine, l’eau est entrain de bouillir ; je pars l’éteindre : Elle est sur le gaz ... ! Après, J’irai m’habillé pour aller observer les milles et infini merveilles de notre Univers. |