L'histoire du Premier Avril


 On raconte que ce jour-là est différent des autres
jours
mais une jeune Demoiselle était très triste ce jour
là. Elle avait perdu son souffle et rêvait que par le
chant.

 Elle n'avait plus la force de pleurer et son âme
sombra dans la solitude. Son anniversaire était son
seul lien dans ce monde mais la nature en avait
décidait autrement.
Elle demanda à un albatros de lui apporter un poisson.

 L'oiseau pêche un poisson qu'il apporte à la jeune
fille. Ce présent lui rends le sourire et remercie
l'oiseau. Elle demanda à l'oiseau et l'oiseau
répondit:
Dans le dernier jour de mai, il naîtra l'avril promets
de donner cette coutume pour la nature.

 Elle fit un signe mais l'oiseau disparut.
Elle prépara le poisson et y trouva une bague d'homme
en Or... Sa famille était pauvre et elle le savoura
avec sa famille: La Mort était là mais le sourire
était présent.

 Monsieur Tignard Yanis.

PS: Joyeux Anniversaire, Norah Jones.
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 Les mouettes de la mer et l'aigle de l'océan

 Un vieil homme raconte une histoire devant un arbre
prénommé Cèdre du Liban.

" Autrefois, Les Laridés étaient des solitaires et ils
se dévoraient les oeufs des uns et des autres.

Ainsi l'Éternel parla à l'aigle:

"Oubli le serpent et dévore les mouettes."

Les oeufs étaient moindre mais ainsi les mouettes
vécurent dans la crainte et elles devenaient moins
solitaire et plus sociale entre-elles.

Et un jour, elles chassèrent l'aigle sans le tuer et
le laissèrent chasser car la vie est ainsi: L'aigle
n'avait point été cruel et avait obéi à l'ordre pour
le bien du peuple de l'eau et des roseaux.
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 La fontaine et le fromage.


 Le Renard a volé un fromage à la corneille mais la
Chine a rendu ses restes par sa franchise.
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 La Tradition: dédié à l'Univers.

 Ce chat luie dans l'univers.
 L'odeur mène vers la suie.
 Une vieille grange gronde le feu.
 Amene et sent la colére du jeu.

 Malheur coule ces lumiéres...
 Où jaillient ces teneurs...?
 Sonnets frappent ces douleurs;
 Cette oie reste une chaumiére.
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Taro et Jiro au Japon ou Antartica.

 Dans le plus grand des déserts même si il brule,
 seul l'horizon te permet de ne pas la voir venir. Son
 souffle te caresse de la main même, celle qui est
 veuve de la vie.
 
 La mort murmure des paroles et nous voilà devant
 le choix: S'écrouler ou aller de l'avant... Le temps
 disparait laissant apparaitre ces nuages, nos yeux
 pourrait se laisser guider par la folie.
 
 Celle que d'avoir oublier, qu'on ne peut oublier
 la vie pour la grandeur des choses et instaurant la
 dictature par l'esclavage.

 Merci Taro et Jiro vous m'avez appris à suivre les
 nuages car dans le plus grand des déserts même si
 il géle, seul l'horizon te permet de ne pas la voir
 venir... Son souffle te caresse de la main même,
 celle qui est veuve de la vie.
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 L'éclair et le pigeon.


C'était un jeudi, à librairie Privat, rue des arts, où
je décidais d'acheter un livre intitullé Chagall et la
période russe !.
C'est alors que j'entendit un frisson et me retournant
dèrrière mon dos! C'est là que je vis un pigeon
assomée où plûtot fou de la dernière heure.
Il était à terre et frappait des ailes sans voler !
Alors, je le pris dans les mains, et je vis qu'il
saignait un peu !

Fût il foudroyé par une guêpe, une abeille... ou par
un virus !

Le piegeon étant mort, et aprés l'avoir embrasser je
suis parti vers la Garonne.

Alors son cercueil fût le fleuve des loups ! Les
nuages.
Alors j'entendit un corbeau et un goeland emportait la
carcasse du mort
vers le cimetière: L'eau est tout comme le plaisir
abreuvant un corps de raison et de douleurs.
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 Le chacal et le renard.

"Elle avait raison nous avons sombré dans la
barbarie." dit le renard.
"Rien n'est encore perdu !" réponds le chacal et à sa
manière, il baisse les yeux vers ses pattes
antérieurs.

"cette mort vient de nous, alors que nul ne peut
échapper à son jugement!" dit le renard.
"Nul pourtant n'a de réponse mais je concerve ma
foi.!" dira le chacal.

Dans les plumes de chacun nous avons ressenti le
plaisir d'autrui.

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 Fables d'aujourd'hui.


Ludivine et le canari
"-Ludivine."
"Canari."
"Veux tu m'offrir cette main."
"Non."
"Le cancer... je parle de l'autre..."dit le canari.
"Mais, tu parles."
"Le serpent est vivant Ludivine la blanche."
"La vipére n'est pas le térrorisme."dit la chatte.
"Tu souffres." demande le canari.
"Enervé..." fait Ludivine la chatte blanche.
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   Croaw-croaw, l'ancien corbeau.

"Mais qu'en est-il devant l'homme."
"Corbeau."
"Cassandre tu portes le poids, et tu devra nous donner
l'envie d' aller défendre ce qui est notre valeur:
Yafo."
"La chouette éffraie, je suis faible corbeau et elle
va reprendre le pacte de l'union et elle est prète à
défendre des hontes que se sont livré Jaël et Sisara
dans l'ancien temps."
"La nature et TAY savent la douleur mais il est des
coeurs à sauver, à défendre et à aimer: Toute femme
n'est pas une espionne, par Yahvé celui qui est
Allah."
"Protége le, corbeau."
"Par les racines de mes ancetres, ma fille Nicosie
sera là et lui  donnera le plaisir de s'unir dans la
joie avec un autre corbeau.
Nous ne sommes pas un détail, Cassandre chouette
d'égypte;nous avons le fait d'être."
"Croaw-croaw, L'olivier est une graine devenant par
les années un grand arbre comme le cèdre et chacuns."
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 La tourterelle: envoyé à khatami@president.ir,
nagaliew@yahoo.fr,vice.president@whitehouse.gov

Elle pousse un soupir. Elle s'envole et quelle
sensation de voler sous la pluie.

La tourterelle se pose alors dans un jardin et murmure
alors des notes


La petite fille et sa mére voient athèna la chatte
bleue

" Oh... regarde...Le chat." dit la petite fille.
"Oh...Il est beau, il est tout bleu." fait la mére.

Athéna les regarde amuser et s'en va rentrer chez ses
filles.
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 Les mouettes.

"Heu" dit le corbeau.

" En poste,..." réponds le goeland.

Au loin de ses nuptiaux, Nagalïèw ressent l'amour des
saisons:

Eole cet albatros est là...

Dans la garonne, la nature a construit ses iles et
seront faire face au lit Du fleuve.
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 Poéme pour prisonniers sur Mer Morte.

au coeur d'un lac, ainsi est l'histoire: L'eau
s'évapore laissant place au sable de s'éparpiller dans
le clair obscur de nos yeux...

Certes sont...
Est là...
derrière...

Le temps rappellant le temps.
La science appelant la science

Certes sont.
Est là.
Derrière.Elle disparaitra un jour,
Sans gré et sans force.
Elle demeura Mer Morte.

Certes sont
Est là,
Derrière.
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C’est les plus mauvais mots. Et, pourtant nous pouvons
choisir.

Oui a la grève et non a l’esclavage. Je t’embrasse le
service public.

A l’appel des verbes, qui pourrait contenir, la parole
n’est pas de contenir.

Mouettes sont dévorés par les renards ; finis n’est
pas finir.

                                     2ieme strophe.

O cœurs ravagés, par temps et virus, celui des filles
de l’ogre méchant voulant dévorer.

Alléluia, o mon peuple, me voilà dans la lassitude des
plus grand âges : je le peux.

Comment ceux qui n’ont, plus le goût des plus grands
affamer des pieux.

Les vaches sont là et mangent des foins. Coquin a été
l’être des absorbés : Arborer.

                                   3ieme des
remarques.

Ils se sont élevés dans le cri des plus grandes
douleurs. Ces hommes, épris de connaissance,

Connurent la joie d’être une couverture. Par le dieu,
les concrets affirment dans les aisances.
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« Elle chante…bien sur qu’elle chante…elle ose malgré…
oh, elle va voir.

Cette enfant n’a pas le goût de l’obéissance. Elle vit
dans son univers. » ; la femme se dirige

vers la chambre de l’enfant. Elle grimpe par
l’escalier. Celui qui la ramène vers ses longues

années de service. Dame Julie entends toujours des
airs de musique provenant de la chambre

de la jeune fille. Il faut savoir oser, et cette
enfant ne dispose pas de la liberté. Elle aime jouer

de son piano, mais elle délaisse sa grammaire. Il n’y
a rien de bien original sauf que cette

enfant est l’héritière.

           Dame Julie frappe à la porte et la musique,
alors s’interrompt :


« Mademoiselle… Vous m’avez désobéi… Vous délaissez la
grammaire, je veux vous dire !

Vous avez utilisé votre charme et le dos tourné, vous
avez … Mademoiselle… ! » : Dame

Julie est en pleurs mais la jeune fille lui répond :

                «  Dame Julie, ma mère sera satisfaite
de mon travail. Il est moins bâclé. Je suis

chagrinée. J’ai si peur d’être frapper pour une
nouvelle désobéissance, dame Julie. » ;

l’enfant est vraiment bouleversé, elle ne sait que lui
dire ses mots :

                 « une nouvelle lecture, dame Julie ;
ainsi, j’observerai l’orthographe. »

                 «  Mademoiselle, j’en ai assez de
vous entendre hurler sous les fouets de la

punition. Votre père et votre mère attache une
importance réelle à votre éducation. Je suis si

faible. Je n’ai pas eu la chance d’apprendre à écrire
; ces devoirs ne sont pas bâclés,

mademoiselle. » réponds dame Julie.

                 « bien sur qu’il y a des erreurs, le
parfait est d’apprendre ses nouvelles règles.

Je vous assure que mon cœur est de jouer car je serai
battue : Ils sont ainsi. »

                  « Mademoiselle » répond dame Julie.

                  « Je ne faisait que chanter, dame
julie. »

                   « Vous avez désobéie, mademoiselle.
»

Quand les parents arrivèrent, ils demandèrent si dame
Julie avait chanté, Dame Julie répondit 

Qu’elle voulait savoir si la petite fille avait bien
travaillé son écriture et sa grammaire.

Après quelques minutes, ils reviennent pour dire la
chose la plus merveilleuse qui soit

Pour Dame Julie : Ils sont fiers…

Alors, elle comprit que la petite fille, elle comprit
sa faiblesse : Elle prétendit avoir chanter.

Dame Julie alors baissa la tête et les parents riaient
: le temps donne ses fruits, Dame Julie.

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Dans la volonté, on y retrouve la notion de
combativité. Ce phénomène peut être démultiplié dans
le sens du matériel et d’un autre phénomène  que l’on
surnomme la construction du sens.
En effet, il y a cinq sens pour l’un ; pour d’autres
il n’y en a pas : D’où l’intérêt d’y inclure l’aspect
de recherche pour donner sous forme de Définition à un
problème de rationalité. La combativité est un sens ou
une recherche ?


             Pour la culture japonaise, les deux sont
étroitement liés dû au fait que le seuil n’est pas
encore résolu dans le sens théorique du scientifique.
Ainsi est né l’embryon : L’amour ne peut être une
épreuve. L’amour, donc, est une conséquence ou une
sorte de soumission. Alors, pourquoi tant de
mathématicien et philosophe, interprète-il l’amour
comme réel dans l’irréel.


L’amour n’est pas un sens : Il aurait pu être une
passion si l’amour se complétait. Or là, l’amour de
passion n’a qu’une part douce d’irréalité ; il y a
aucune volupté. Il est charnel. Donc, le sens de
l’amour est inclus dans la chair et l’information.
Ainsi, l’amour est le plus grand préliminaire du sexe…
La combativité s’inclus plus dans un terme d’amitié ou
dans l’attribution d’un pouvoir.


               Le combatif ne s’oppose pas au sexe, ni
d’ailleurs à l’amour : Mais le combatif sépare l’âme
du corps. Il y a le bestial ! Chacun a son sens de
l’interprétation pour le prénommer. Ainsi, le
platonique n’est ni vérité, ni certitude. Il y a un
cheminement. On parle des filtres d’amours en magie ;
un scientifique dans sa juste raison, dénoncera
l’humide de la femme et l’impuissance métaphysique de
l’homme. La femme n’a pas besoin d’une lueur pour se
donner à un mâle ; l’homme lui a besoin d’une lueur,
de cours et d’un amour. La femme est une symboliste,
l’homme n’a pas cet attrait de découvrir…


                Tous les hommes ne sont pas des mâles
et c’est ainsi que la femme créa la réunion de groupe
: Si la pomme est liés à la discorde, cette différence
s’appelle le lien du poète. L’érection n’est pas
taboue, et c’est ainsi qu’est né cet art de la pomme
face à la discorde : La Psychologie est incapable de
donner un profil de la fille facile et du mâle.


              

                     Alors, ce débat pourrait être
éternel si il n’y avait pas les choses courantes : Les
êtres semblent donner la volonté de rassembler leurs
idées autour d’une volupté… aucunes ne semblent être
commune malgré leur nombre limité. Ainsi le corps
n’est pas un outil pour le crime ; dans le mille,
cette prostitution est sujette à la torture, à la
vente et au marketing. Nous le savons, vous le savez !
Le média est bien plus qu’un outil de
télécommunication ! C’est le monde secret des réponses
autour de cette illusion qu’être devenu bien plus
qu’une ombre à la solde de « pions ignorants »
ignorant les parfums secrets des reines et de leurs
agents… Dans la volonté, il y a deux forces :
L’électrique et le cerveau.



                      Ainsi, bien plus qu’une
apparence !  j’ai aperçut l’intérêt de cette certitude
: Politiquement, il n’y a pas de taupes ! Des
mouchards, hum… Bien plus, c’est l’espionnage ! Un
monde où la mort est un camouflet au même titre que la
personnalité : Des traînées de pétrole s’échappant du
« prestige ». Ainsi, la nature de l’Homme n’est pas de
prévenir sur les coups que peuvent recevoir ses femmes
devenues des filles de joie. Il y a-t-il un intérêt à
les fréquenter ou alors, juste pour leur donner des
cours de tuyauterie. Les mouchards sont plus efficace
de l’espace, chaque puissance possédant son propre
satellite d’observation ; Le scientifique est le fou
et le géographe devint le cavalier d’un vaste
échiquier : La géopolitique en est toujours à ce coût
que procure un tournoi de joueurs. On peut parler des
gènes mais il y a le goût du physique.  Bien que les
problèmes ne soient plus ; car en amour comme en
sciences, on fait à cet appel de données. Etre devenu
au cœur de l’information. Pourtant, l’éprouvette a
enrayé la peste ou d’autres maladies : C’est logique,
l’éprouvette a donné l’existence à l’embryon auprès de
l’ovaire.  Le mythe d’un homme et d’une servante qui
donne à une femme d’être une mère. La science a
écartelé la jalousie des hommes et des femmes pour
laisser place à ce fait : Guérir. C’est noble mais tel
est le terrible. Une petite mouette volant sur l’onde
criant et jouant à travers l’espace. Découvrir notre
chaînon s’est ici ; le danger s’est là-bas. Cette
information n’est pas liés à l’érection ; ainsi il
existe le secret médicale pour le bien de l’individu :
L’amour et le travail sont deux horloges.  J’ai eu
peur de ne pas y parvenir ; peur d’être timide. Mais,
j’ai eu la violence sur moi-même, et comme beaucoup,
je l’ai attribué à la claustrophobie. Mais, j’avais
conscience du mal. Pour ne pas craquer être simple, et
là de vieilles légendes, me sont revenu : J’ai hait
l’homme mais pas ces livres. Je n’étais pas sociable
car j’avais honte. Ainsi si, la philosophie s’est
greffée à l’amour, au désir et au sexe ; Les
mathématiques et la biologie ont conçu ce fait sur les
résultats  de la molécule physique, les atomes et de
l’observation de l’astronomie : Les géopolitiques,
l’espace et l’histoire. La vie est au sein d’un
infiniment grand et d’une minuscule électrique : Le
ciel et l’espace. L’histoire du petit s’implose au
sein d’une ligne dans le fait que la gravité est le
déclencheur de l’arc électrique. La hauteur donne des
indications sur le volume et la masse.


                  La tempête n’a rien laissé que son
propre spectre : Mais quelle soit électrique ou
matière ; elle est avec la gravité, la formation du
ciel céleste. La ligne du néant donne un parallèle
avec le temps pour le vide. Les scientifiques
confondent la cellule et le centres d’où ces
interminables réunions sur la créativité de l’univers.
Ainsi ce parallèle est donné par l’étendu et les
différentes sources de luminosité sont définies sur le
fait de l’étendue.

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Le marron va sortir de l’enclume, perdre une femme
pour lui ? Comment se regarder dans une glace ! Mais
que dire qu’il s’agit aux pluriels. Et dans cette
terreur je fus seul. Ce furent des guerriers pour la
plupart des bannis, ceux qui avaient des larmes. Nous
étions aux postes peut être un peu trop tôt peut-être
avant l’heure pour certains. Le marron va sortir de
l’enclume. Mourir pour lui. Comment ne pas se regarder
dans une glace. Et dans cette terreur, nous fumes
seuls. Et les femmes ne s’en souciaient car dansant ;
et les autres flattant l’esprit de leurs pieds.
Quelles musiques… !
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                                     Amour et Cœur.
Que la nuit soit bleue
Et qu’elle résonne en mieux ;
Que sa raison porte le pieu
Afin qu’elle conduise au lieu.
               

          Des étoiles traversent mes yeux,
         Mais, le chagrin me ramène vers eux.
         Souffle vers les nuages, éteint le feu
           Afin de dire et de crier vers les
valeureux.



Tant l’espérance qu’elle porta Chagrin,
Voilà la juste réalité de mon Destin.
Conduire ce char qui produit la perte
que je crois, la vie a en perdre.
                 

 Irrégularité du mouvement,là Voilà le déplacement du
périhélie, içi… De ce destin de signe, mon cœur est
las ;D’ailleurs y ai-je cru un jour, ailleurs ou ici.


Terreur survit dans l’alcool, je ferme.
Et pour personne, je ne crirai même,
Si je pouvais l’avoir : Je me tais.
Car si lointain, le temps où je décidais.

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Magellan et Mendoza.

 Les albatros sont des oiseaux trés surprenant.
Chacun d'entre-eux est muni d'une corde vocale et
d'une mémoire auditive et sensorielle.

 Magellan est né le premier, Mendoza vient le
deuxiéme.
Son pére vient du nord et porte un prénom irlandais et
islandais: Patrick.

 Sa mére est un peu plus de l'antartique et son prénom
est Lumiére de la Rose.

 Patrick est agréssif mais fidele dans son désir et au
courage il ne se laisse jamais emporté par la
violence.
C'est par le fait de distinguer le bien et le mal qui
lui permit de séduire la douce fleur venu du Sud.

 Au loin, souffle le vent et Cassandre la chouette
blanche d'alexandrie vient les prévenir sur la
prophétie et sur les moyens engager pour enrayer
l'esclavage: Le mythe de l'arche de Noé et l'olivier
des amazones.

 
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La grenouille et la chauve souris.

Dans un clair de lune, Une grenouille croasse...Une
chauve-souris vole dans l'obscurité et reçoit par son
radar, la présence du batracien...La grenouille
continue son appel et la chauve-souris ne dit parole:
La grenouille a une allure de dragon pour une
chauve-souris! Mais, elle se pose de fatigue sur une
branche et écoute la grenouille.
"Dans un champs de pleurs, le rapace dévore la
grenouille et la souris, dans ces clairs, on
s'aperçoit de la proximité du jour et des nuits... Je
pleure et je me console sur la présence des restes: Je
reçoit la présence d'un conjoint." La lune aveugle la
grenouille et la chauve-souris recent une Présence.
Alors un cri se fait entendre et les gémissements de
la grenouille d'ajouter.

"Un moustique qui pique; et au milieu de cette nuée,
c'est l'appétit qui vous prends"

Sur sa branche, la chauve-souris s'amuse; si la
grenouille n'est pas sotte: son odeur la revele!
Sur une branche, une chouette hullule vers son mâle.
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Réponse à Baudelaire ou le corbeau.

Femme, je te réponds à ton enceinte.  Toi, qui avec
tes yeux de marbre, parcours notre corps fou de
désir...Venus je te réponds que notre semence est
mélée à l'esprit de la vie. Et moi pauvre saltimbanque
je te défie de me l'arracher par l'épreuve
du Temps et des quatre élements.

Je te le dis en face...
Voilà le cri du fou qui se mets à tes pieds... Tout en
sachant la diversité du troisième élements.

Qui es tu...?

J'ai ma réponse.
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Sans titre n°A: dédié à Madame Valerie Carcelen
 
 
Son âme est bleue; Son coeur fragile rougit.
 Sa silhouette est présente.
Silencieuse... Si..
 
 Et puis elle parla...Alors, on la regarde...
 Méduse, vénus qui sont elles ?
 Vibrante... vivante...
 
Et dans ces yeux, il y a la force.
 L'une des plus grande, belle.
 Silencieuse... si... Vibrante, vivante...
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Les amants et la vie

tournent tous autour d'une approche historique et
anthropologique des systèmes d’estivage, avec un
double objectif : appréhender l’histoire de ces
systèmes pour elle-même, dans ses dimensions
techniques, écologiques et sociales ; l’appréhender
comme une voie d’accès nouvelle à une histoire
globalisante des sociétés montagnardes. Défini à la
fois comme une pratique — mener paître les troupeaux
en haute montagne l’été — et comme un espace — les
pâturages d’altitude des massifs européens —
l’estivage constitue ici le point nodal d’une approche
interdisciplinaire, comparative et diachronique,
visant à cerner le rôle et le poids des marges — les
vacants, les terres communes — dans la temporalité et
l’organisation spécifiques des sociétés où elles ont
eu et où elles conservent une grande importance.
L’attention se concentre donc sur les régions de
montagne, avec, en arrière-plan, l’idée qu’elles
peuvent fonctionner comme un révélateur de modes de
perception et d’appréhension de l’espace plus
largement partagés. Comparatiste, cette perspective
propose d’explorer un système dont la cohérence se
dégage de ses variantes . Sont actuellement mis en
regard, au sein des Pyrénées, la Cerdagne (à l’Est) et
les vallées basques de Cize et de Soule (à l’Ouest) ;
à une autre échelle s’engage un travail
Corse/Pyrénées. Diachronique, l’approche vise à saisir
la dynamique des transformations, écologiques,
techniques et sociales. Elle s’étend donc à la longue
durée, avec une attention accrue pour les périodes
historiques. Interdisciplinaire elle fait appel à
différents éclairages, mis en œuvre au sein de travaux
collectifs : fouilles archéologiques des habitats
pastoraux, séquences paléoenvironnementales
(palynologie, anthracologie) permettant de retracer
les grands rythmes de l’impact anthropique,
assemblages carpologiques et faunistiques documentant
les pratiques agro-pastorales, sources textuelles et
sources ethnographiques.
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                     Le héron et la puce.


Un jour.

Le cœur des années, un animal s’était construit un nid
au cœur des vanités.

Le héron se grattait :

«  Je hurle, je souffre et j’ai soufflé. »

La puce de répondre :

«  Je me suis construit un nid, juste une matière. »
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                Le héron et le crocodile.

Un male hurle vers la Lune : « Toutes ces femelles
portent  mes fruits » ; Ces gémissements ne semblent
en aucun cas troubler les noirs désirs des crapauds et
des grenouilles. Pour dire même, l’amour s’y fait
entendre et le crocodile n’est plus le bienvenu chez
ses épouses."

Un héron lui est là et il observe ses lamentations.

«  Et d’outre-mer… Toi, là qui te lamente sur le rôle
d’une mer. » : S’écrie le Héron et alors, Les
batraciens cessent leurs tumultes de reproduction et
d’orgies.

«  Qui ose défier le male que je suis, un dévoreur
d’insecte. Elles sont mère d’un père » : Hurle le
crocodile. « Qui es-tu, un oublié, un suicide bavard…
». Les batraciens se regardent.

Le vent souffle et alors le héron fait entendre un
certain cri. Alors, les crapauds s’écrient : « 

Le diable a entendu notre désir et le héron est venu
nous punir ».

Au crocodile de leur répondre : «  juste non, il est
revenu mettre d’humeurs, mes braves épouses et mères
».

Au héron de hurler : «  A les douces nuits d’été,
entendre ses orgasmes et ses larmes ».
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                  Le chat et le serpent.

Quelque part dans une grange, on y entends de drôle
d’histoire. Ainsi une pauvre souris se
savait traqué par un chat. Voilà, comment mon ami le
canard me raconta cette histoire. En tant
que, Narrateur, je dois dire que ce canard était
anglais. Enfin, une certaine émotion pouvait se
lire sur la ligne de son bec.  cette souris n’avait
pas eu d’enfants mais elle les portait. Je n’ai
pour habitude d’en arriver à ce stade ; mais le chat
était affamé par le fait : Ce chat chassait
aussi pour sa femelle enceinte. Le chat bondit et il
sauta d’une meule de foin. La souris
surprise entendit le souffle ; et reussit à se
protéger en se cachant dans un terrier. Alors, le chat
entendit une voix :

« Laisse minet de basse-cour, elle est pour moi ». :
Le serpent rentrit ses crocs et alla dans le terrier
de la malheureuse. Tel que fut l’histoire, elle a
juste poussé un cri.

« Et le chat ». Demanda Merlin le rouge-gorge.

Le canard lui répondit ce que le chat lui a dit :

« J’avais neuf vies, mais j’ai croisé le rappel de la
mort : Il m’en reste sept ».

« Et le serpent ».

« Une femelle qui portait la vie, je crois d’ailleurs
qu’elle a reussi à donner la vie. »

Merlin, le rouge-gorge de répondre :

« Ainsi… Malgré tout, elle avait un cœur. »

Au loin, la chouette hullule vers le jour, la nuit et
les chauves-souris : Les arbres de vies.
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 Les laridés et le phare.

Les chinois ont parlé des nids d'hirondelles. Au coeur
de leurs iles, seule la science du cri a permi au
arabe de l'orient de comprendre le chant des
laridés...

Les mouettes se nichent sur les falaises et lorsque on
ne connait pas la géographie: Les falaises, ainsi,
n'étaient connues que des habitants... Les laridés et
la science des reproductions montrent que la mouette
survolle.
 
Comme les otaries, les mouettes  donnent au marin les
chemins d'un port... Ainsi telle des étoiles, les
oiseaux sont le point d'observation sur l'horizon.

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Enfance d'un Hermaphrodite ou Génesis.

Nuages écarlates éclairent la pluie déluvienne.
Cauchemars hantent les nuits vénusiennes.
Lune vitriolée pénetre mon obscur féminité,
Pour mieux réveiller mon soleil caché.

La lionne rugit:" je n'aime pas l'eau."
Le renard me rusait:" je suis l'arbre."
Le vent me souffla un conseil et
Sa soeur écouta ma complainte.

Saturne dévorant, jour aprés jour, les yeux lunaire de
moi.
Je me dis:" Regarde vers ce ciel, écoute les chants
marsiens.
Le bel hiver annonca ma cent-vingtième année.
" Nous avons oublié les chats." criaient les femmes de
ma vie.
" Et les autres, Hein ?" me dis je: Et les autres"
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 le saumon et l'habitude
 
J'avale les kilometres.Le poisson est aussi celebre
que son gout.       
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Brindille

Un homme assis devant un fleuve. Il regarde les
vagues du fleuve. Le plus bel amour est d'être aimer.
Il le savait depuis toujours et avait l'air de
toujours dormir debout: Alors il partait réfléchir
devant le fleuve tout en étant seul ou accompagné.

 Cet homme remarqua une brindille, parmi tout le bois
c'est elle qui attira son attention. Il voulu jouer
avec et puis son désir n'était que de voir. Alors il
laissa le vent seul au milieu de sa nature.
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 Le Mouton et le vélo.

Dans une ferme, des moutons vivent dans un enclo...Ils
ont cinq ans d'âge et le propriétaire les élevent tout
naturellement avec un bon chien... Il ne jouait pas
sur les mots... Il dressait son toutou devant des
moutons béats: Cela remonte à deux ans.

Et un jour, le chien a perdu un mouton...Et, le
propriètaire fut très chagrinné, mais n'en voulu pas
au toutou...Il est des expériences douloureuses.
Et le soir il entends la dame rentrer à Vélo...

"Que fait le mouton avec toi !"demande l'éleveur.
"Eh bien, il m'a suivi..."réponds sa femme.
"chez le charcutier...mon bébé.":Dis l'homme.
"Celui là...C'est le Leader...Il t'écoute comme un
chien..."réponds la femme.

Dans une jolie terre, le cri de l'hygiène ne s'y est
jamais éteint mais certes qu'une agonie se fait
entendre: C'est l'abandon.
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 les ours.

Les moutons sont comme les saumons. tout pourait les
separer . Mais, nous sommes connu principalement pour
notre gout pour le miel. Il y a des choses à
entendre;dans leur repere, le male s'amuse par instinc
et force à répendre.
courage sur les tranchées, les hommes s'aprettent à se
les arracher dans les coulées.
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L’hétérosexualité et l’homosexualité ou les jardins du
délice



Dans notre cœur, nous voyons les images qui défilent
devant nos yeux et notre désir.

Dans la vie, la tristesse est telle qu’il faut aller
ailleurs pour éprouver la peur ou la tristesse.

Dans l’amour, on y trouve les joies et les tristesses
que peut offrir un homme et une femme.

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L’instant ou le couple… (Dédié à Athènes)



Soutient-moi contre ta poitrine que je puisse oublié
pendant un instant.

Enlace-moi entre tes bras pour que la bravoure
revienne en mon cœur.

La simplicité de l’enfant s’envole vers d’autres
cieux.

Il ne reste aucuns souvenirs de notre instant,
j’aperçois le mirage en mon cœur.

Car finalement, la plus grande des tristesses n’est
pas la trahison mais la fierté de ton orgueil.
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Les saisons de la montagne « Pelée »



Le cœur montant, je vais à la montagne. Là à cet
endroit, je vois un chamois qui dévale la

Pente. L’animal n’arrive plus à freiner de ses pattes.
Et voilà, le mâle… Le chamois qui passe

Sans un cri, le vide.

Le sang inonde les neiges de la montagne « Pelée ».

Là où nul homme ne passe, la stérile m’envoie ses
heureux et bienfaiteurs rayons…

Dans un instant, un loup, l’animal, hurlera sous la
lune et les foyers resteront portes closes. Le

Soleil s’étant couché et voilà son rouge-gorge se
déroula sous les pentes de l’Himalaya

Accouchant d’un Caucase sans nuages.

Mirage trouble les neiges de la montagne « Pelée ».

Siloé ou le cœur du scorpion brille de mille éclats
durant son éphémère voyage.

Ses explosions ont laissés évader ce vide spirituel
qu’est une éjaculation. Je te vois femme,

Qui me parle dans mes rêves !

L’abandon inonde les neiges de la montagne « Pelée ».

J’arrive près de la demeure et du haut de la montagne
« Pelée », j’entend une vive

Dispute... ! La fureur des éléments ne font qu’un !
Pauvres marins, laissez-vous guider par

Votre prudence !.

Tempête coule sur les neiges de la montagne « Pelée ».

Je vais prendre le thé.

Mon Père est allongé ; je sors de mon lit : J’écoute
la nature… Chez nous, il y a une faune au

Cœur de la ville. Voilà, bientôt trois heures que je
me suis penché sur mes labeurs : il y a deux lits dans
une chambre. Alors, pour bien me réveiller et mieux
rebondir sur mon clavier :

Je vais me préparer un thé noir. L’ordinateur lui est
mécontent de son inactivité ; alors il a

Intégré tout comme mon père, la veille. Drôle de
petite histoire pour une société en route vers

Un espace. Dans la cuisine, l’eau est entrain de
bouillir ; je pars l’éteindre : Elle est sur le gaz

... ! Après, J’irai m’habillé pour aller observer les
milles et infini merveilles de notre Univers.